Jardinier Paysagiste en Provence

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Cicéron le Romain, l’Anglais Thomas Whately ou le Chinois Lou Qingxi, ont tous un point en commun, tout comme A. Baraton (le jardinier -comme il se définit- en chef du jardin de Versailles), l’amour des plantes et le charme de la diversité des jardins qu’il est possible de rencontrer dans le monde entier.

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Jardinier paysagiste en Provence

 

Baraton, va même plus loin, en disant « il faudrait sacraliser les jardins et les arbres». Ce profond amour et cette passion pour les végétaux et jardins, d’aujourd’hui ou d’hier est à la mesure de ce que ces êtres vivants que sont les plantes nous rendent quotidiennement par des fééries de formes et couleurs.

Le jardin, quel que soit son pays, sa région, est toujours à l’image de son propriétaire, à savoir, qu’il reflète le plaisir que ce dernier se donne dans ses promenades ou simplement les vues qu’il souhaite depuis une fenêtre.

Chaque jardin a son histoire, il permet de côtoyer les végétaux et permet la mise en valeur de son environnement.

Si c’est à Nabuchodonosor que nous devons les jardins de Babylone, chaque jardin dans lequel nous avons l’opportunité d’intervenir, d’errer ou de flâner, que nous soyons professionnels ou amateurs, fait vagabonder nos esprits, fait envahir la bonne humeur dans nos têtes et, tout en permettant à l’entourage de contempler ces tableaux naturels.

Et puis économiquement les jardins ont une importance démentielle.

Pour preuve, sur les anciens billets de 10,00 Francs, nous pouvions voir Voltaire avec sa plume disant « cultivons notre jardin » et en décors derrière lui, costière de derrière, comme au théâtre, un jardin luxuriant s’imposait dans ce tableau.

En bref, qui plante un jardin, plante le bonheur !

Tous les exercices en rapport avec la nature, les extérieurs, les jardins, pur une plantation d’arbustes, à la création de terrasses ou la naissance complète d’un jardin, le personnel qualifié de LUBERON – PROVENCE – Jardins par son travail de qualité  se plaît au contentement des clients, des chalands ou des propriétaires.

Jean Giono en 1953 écrivait dans sa nouvelle « L’homme qui plantait des arbres » : « Ce n’est donc pas, au sens strict, l’homme qui plante les arbres mais l’arbre qui plante des arbres. L’homme se contente d’orienter, de modifier, de tordre, de couper la plante, mais il ne la fait pas pousser ».